Université d'hiver de l'Interhack

Je me permets de vous partager une pensée qui occupe beaucoup mon esprit des dernières semaines.

J’ai proposé un atelier pour l’Université d’hiver Interhack, La S.A.U.C.E bio.
Nous serons donc probablement ensemble à Montpellier.

Mon cerveau bien gredin me souffle qu’un truc bien moins « faire apprendre aux autres » serait aussi agréable à faire. Un Truc autour de la « catastrophe » et de la politisation de celle-ci (dernière ref en date ici).

Aussi, avec pas trop loin de cela les jeux d’influences, par contrôle / surveillance / punition, des espaces de sociabilités qui nous sont chers et nous font du bien (ref 1 ; ref 2 [« Les lieux de sociabilités et de repolitisation étaient et sont encore des espaces d’intérêt pour les États comme pour les acteurs du secteur marchand privé, souvent à visée de (prise de) contrôle et d’orientation »]).

Plus succinctement, j’en suis à penser à un « Désastr’OFF » ( un OFF qui tourne en fond lors de l’événement sans étoile qui brille à la manœuvre) à proposer lors de cet Interhack. Un truc pas vraiment tenu en animation constante, bien plus un mur d’expression libre inspiré de la méthode « petites histoires, Grande Histoire » (sans les moments d’animations) sur lequel des personnes présente pourraient venir y accrocher leur récit de vécu et ressenti autour d’une ou plusieurs catastrophes (selon leur propre définition de celle-ci). (voir Atelier « petite histoire, grande histoire »).

Donc, une pratique de l’écriture et du récit pour tisser de liens et (re)constituer des politisations et ouvrir des discussions.

Comme cela n’est qu’à l’état de pensée un peu obsédante et aussi qu’il me semble y avoir une grande proximité avec THX, et des différences, alors je vous partage mes nouilles de cerveau et vous espère en discussion sur celles-ci.