S’arrêter, ça voudrait dire passer le relais à d’autres personnes capables de fournir du support gnu/linux aux différentes organisations.
Continuer, ça voudrait dire se poser des questions sur la rémunération parce qu’on se dit que se reposer sur une cotisation mensuelle, ça n’aide pas, ni nous, ni les organisations avec lesquelles on travail, dans la définition de ce qui se fait et de ce qui est à faire.
Rappelons que sur la page Poen nous parlons de don et de soutient régulier, et rappelons aussi que la maxime Sieste, recherche et développement est sur la page d’accueil des Gnuragistes, mais que parmi les constats… on manque de sieste (en tout cas j’ai bien du mal à en faire).
En préambule, rappeler le caractère expérimental/organique/expressioniste de certains passages…
Un des tuyaux qui sort de cette machine infernale qu’est ce travail d’introspection/synthèse/digestion peut/pourait être une présentation/discussion/intervention au offdem.
Hello,
Chouette de voir ces pensées et réflexion et surtout de retrouver des contributions des gnuragistes par ici…
oui ce serait chouette d’avoir cette conversation à OFFDEM, il faudrait que vous le proposiez.
Je comprends de ce que je lis que la proposition de @tierce est d’organiser une structure dédiée aux gnuragistes autre que petites singularités c’est bien cela?
Sinon si il s’agit des petites singularités je dois alors dire que je suis évidemment complètement en désaccord avec l’affirmation qui soutient le statut d’indépendant versus le travail salarié.
Nous vivons actuellement un démantellement des structures sociales qui garantissaient un tant soit peu de sécurité aux travailleurs, elles ont été acquises au prix de luttes qui ont couté la vie à certain-e-s et nous devons continuer à exiger un système de retraite par répartition, un droit au chomage, des congés payés, une assurance maladie universelle etc…
Je crois que le travailleur iindépendant qui est venu installer la fibre à la maison l’autre jour serait d’accord avec nous, car il n’avait pas pu prendre de congé depuis longtemps ni même d’heure de repas, car toujours sur la selette si jamais il perdait son client (pourtant une des plus grosses boites de France) il n’avait aucun recours. Les travailleurs ubérisés bénéficieraient aussi je crois d’un contrat fixe qui leur permettrait peut-être d’assurer un peu de stabilité à leur famille etc---- etc… etc… j’ai un peu l’impression d’enfoncer des portes ouvertes, non la destruction du droit du travail n’est pas une bonne chose et profite surtout aux grosses corporations.
les petites singularités veulent permettre aux personnes qui travaillent avec nous et qui le souhaitent de bénéficier d’un salaire.