Du droits d'accès et de la confusion avec les outils numériques

OK, je comprends bien.

Pour ce qui est de la participation de ma part, j’ai posté quelques messages et remplis mon profile, dont un lien vert le site sur lequel se trouve mon parcours. D’une certaine mesure, certes toute relative et distancielle, j’y ai donc participé.

Avec pour seule interaction d’une de leur rock star un MP avec un seul mot qui me fait mousser et qui en était le titre du message personnel qui m’a été adressé : identité

Et ce … suite à ce message de ma part à propos d’un « upgrade en intelligence collective ». Sic.


L’objet de silence…

Les gens ont besoin de temps pour assimiler des choses qu’iels ont entendues ou qu’iels veulent dire. Certaines personnes en ont plus besoin que d’autres. Nous avons expérimenté l’idée d’un objet de silence.

Définissez un objet de silence (une bouteille vide, une serviette, une salière, …) quelque chose qui est accessible à tous les membres de l’assemblée. À défaut d’un objet de silence, le fait que n’importe quelle personne lève la main pourrait avoir le même usage. Ce ne serait pas lever la main pour prendre la parole mais lever la main pour demander le silence.

L’avantage d’un objet au lieu d’une main levée, est qu’il peut être libéré après quelques secondes (à une ou deux minutes maximum).

L’objet redevient disponible et les discussions peuvent se poursuivre.

Si un silence plus important semble nécessaire, c’est peut-être le moment de faire une pause.

En effet, on a l’habitude des meneurs et des meneuses, des pouvoirs délégués à d’autres, des experts et des expertes et aucune patience parce qu’il y a toujours une urgence et on est souvent assommé·e·s d’avis, de points de vues et d’idées.

Le silence, à mon sens, est le seul véritable outil de l’écoute et l’écoute et une clé importante.

Entre Ce que je pense, Ce que je veux dire, Ce que je crois dire, Ce que je dis, Ce que vous avez envie d’entendre, Ce que vous entendez, Ce que vous comprenez… il y a dix possibilités qu’on ait des difficultés à communiquer. Mais essayons quand même… B. Weber

Qui plus est, dans d’autres groupes, en lieu et place du groupe, c’est la division suivi d’un rassemblement (à la manière d’une respiration) qui est utile. À plus de 5 personnes ça devient difficile alors autant choisir des sujets, se les répartir, se donner 45 minutes (peut-être plus mais attention à l’attention), désigner une personne qui racontera (rapportera) l’avancement du petit groupe à l’ensemble, faire une pause, écouter les raporteur·euse·s (sans discuter) et recommencer si nécessaire.

Et … c’est gratuit. :kiss:


Donc voila, c’est bien comme ça.
Merci. :kissing_heart: