Les titres de l'exactualité

les cotisations patronales sont en quelque sorte un dahu.
démonstration: ce sont les travailleur.euse.s qui font 100% de la valeur ajoutée (prix moins les consommations intermédiaires); cette valeur ajoutée fait l’objet d’une répartition primaire (d’un vol mais là on va dire que c’est exagéré) entre capital et salaire; le fait de laisser croire que ce sont les patrons qui paient la part patronale des cotisations sociales c’est tout aussi faux que de dire le patron finance les salaires des travailleurs.
c’est dans cette répartition primaire que la part salariale est elle-même distribuée en salaires (le brut des personnes en emploi) et les cotisations sociales dans lesquelles on distingue artificiellement la part patronale et la part salariale.

ici un lien qui explique comment les cotisations sociales (et les impôts) sont partie intégrante du PIB (d’ailleurs historiquement lors de la création de la sécu il y a un bond dans le PIB):

l’idée révolutionnaire c’est de ne pas s’arrêter à simplement prélever les cotisations sociales à partir du PIB mais étendre le taux de cotisation pour générer de nouveaux droits (alimentation, logement, culture,…) jusqu’à atteindre 100% du PIB ce qui amènerait le taux de profit à la valeur raisonnable de 0%

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