« Se siamo armate e addestrate siamo in grado di convincere gli uomini che anche noi abbiamo mani, piedi e un cuore come il loro; e anche se siamo delicate e tenere, ci sono uomini delicati che possono essere anche forti e uomini volgari e violenti che sono dei codardi. Le donne non hanno ancora capito che dovrebbero comportarsi così, in questo modo riuscirebbero a combattere fino alla morte; e per dimostrare che ciò è vero, sarò la prima ad agire, ergendomi a modello.[1] »
Au XVIème siècle, à son retour à Venise, Veronica Franco fut accusée en 1677 de sorcellerie et d’être responsable de l’épidémie de Peste qui avait ravagé la République libre. Elle se défendit lors de son procès face au tribunal de l’Inquisition et fut acquittée…[2]
« Si nous étions armées et entraînées, nous serions capables de convaincre les hommes que nous aussi, nous avons des mains, des pieds et un cœur comme les leurs ; et même si nous sommes délicates et tendres, il y a des hommes délicats qui peuvent aussi être forts et des hommes vulgaires et violents qui sont des lâches. Les femmes n’ont pas encore compris qu’elles devaient se comporter de cette manière, afin de pouvoir se battre jusqu’à la mort ; et pour prouver que c’est vrai, je serai la première à agir, en donnant l’exemple. » ↩︎
