Des superhéros pour le Congo?

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Je ne sais pas trop quoi en penser. Présenté comme ça il y a un côté très “cadré” et “mercantile”, mais l’une de leur BD est présentée comme une œuvre dans laquelle “la spiritualité reprend ses droits face aux actions immorales des hommes sur l’environnement”. Ça peut être intéressant d’explorer tout ça.

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merci @Amandine je trouve que c’est très chouette, je vais regarder cela.
Cependant pour info il s’agit du Congo Brazzaville (sur la rive nord du Fleuve Congo), et non de la RDC (république démocratique du Congo), les enjeux ne sont pas tout à fait les mêmes. La RDC est un territoire beaucoup plus grand, ou sont concentrées les ressources en minéraux. Le Congo Brazzaville est surtout riche de ses forête tropicales qui sont également violemment attaquées.
Je trouve la démarche chouette, tout ce qui contribue à faire connaitre la réalité de cette partie du monde est important.
Il y a un très beau fim queer également, tourné par une équipe de RDC et du Rwanda Neptune Frost

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Le créateur dit tout : « un super-héros national ». Oui, les super-héros sont fascistes par nature. Non seulement ils imposent la normalisation des destructions au nom d’un intérêt supérieur, mais en plus, s’ils font flotter un drapeau national, là, øn est mal.

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Bof… Tu mets vraiment des mots qui jugent fort, et c’est toujours facile de juger lorsque l’on est assis dans un pays qui maintien dans ses frontières réseaux de distribution de livres et systèmes de subvention dont nous profitons bien.
Je crois que l’idée de nation n’a pas la même portée partout, et puis si ce sont les moyens que les personne de Brazzaville choisissent pour s’exprimer elles ont certainement leurs raisons, personnellement je préfère encourager que critiquer sans même connaitre.

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Je critique la notion de super-héros, ici et ailleurs, toujours, car je la trouve toxique.

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Oh merci pour les infos (surtout le film) je vais me renseigner à ce sujet. Je trouve que la BD, si elle est bien faite, peut être un bon vecteur de communication militante, mais c’est parfois difficile d’adopter le bon ton.

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